Si vous avez suivi l'actualité économique française, le gouvernement a l'intention d'instaurer une taxe sur les transactions financières avant les élections présidentielles en avril 2012, sans attendre de l'appliquer au niveau européen. En fait, les politiciens français veulent se mettre en évidence devant le monde entier avec une impression de donner des leçons à tout le monde. Tout ceci est encore une manoeuvre électorale en plus de la TVA sociale avec une compensation des baisses de charges patronales et sociales pour augmenter notre salaire net fin avril (quel coïncidence !) et du reclassement des intérimaires en contrat à durée indéterminée partielle pour faire baisser mécaniquement le taux de chômage.
Personnellement, je constate que le gouvernement pointe toujours du doigt le secteur de la finance car c'est plus acceptable pour l'opinion publique de le sanctionner par des taxes. Même si les banques ne sont pas au service de l'économie réelle, je considère que l'Etat est aussi responsable de la crise financière en dépensant plus ce qu'il gagne avec un train de vie démesuré malgré les deux mini plans d'austérité en quelques mois. Ainsi, je me demande où vont nos impôts sachant que tout le monde a sa propre idée.
Evidemment, si la taxe sur les transactions financières voient le jour, l'Etat se remplira les poches (pour financer son train de vie ou réduire sa dette ?) mais les actionnaires comme moi seront les premiers pénalisés avec des conséquences non négligeables sur les frais de courtage. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que la dette publique française est détenu à plus de deux tiers par les investisseurs étrangers. Si cette mesure est contre-productive pour l'économie française alors j'en déduis que ses derniers fuiront et rapatrierons leurs capitaux investis dans l'Hexagone vers des pays plus flexibles et le taux des emprunts obligataires français monteront sensiblement.
Evidemment, si la taxe sur les transactions financières voient le jour, l'Etat se remplira les poches (pour financer son train de vie ou réduire sa dette ?) mais les actionnaires comme moi seront les premiers pénalisés avec des conséquences non négligeables sur les frais de courtage. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que la dette publique française est détenu à plus de deux tiers par les investisseurs étrangers. Si cette mesure est contre-productive pour l'économie française alors j'en déduis que ses derniers fuiront et rapatrierons leurs capitaux investis dans l'Hexagone vers des pays plus flexibles et le taux des emprunts obligataires français monteront sensiblement.
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